Avec l'autorisation de boran et vic, jmets la session photo à vic, toujours avec l'appareil reflex de fou a bobo.
[Edit: a la demande de vic jenleve ce qui le derange..]
"..."
13 mai 2006
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méli-mélo de moi ou l'autre moi, le moi du moi, le surmoi, le ça, l'idéal du moi, tout les moi qui existent en moi tous les mois, ils sont en émoi alors MPOUAH un ptit bisou dla part de mouah, gentil toah qui apporte de la jouahh sur mon blog à mouah. plouf.
6 commentaires:
Les attaches se créent, M'embellissent,
Me meurtrissent
La nouveauté arrive et blesse les coeurs d'artichaut,
Qui par trop d'impatience s'attachent précocement aux feuilles soumises aux vents
Destinées à rencontrer la terre et se transformer encore, et encore , et encore
L'artichaut garde alors souvenir des feuillus d'antan et en fait des prince charmants.
Feuille volage, changeante,
Attachante (malgré tout),
Se laisse bercer par les vents inconstants.
Sans vaciller, sans soucis,
Applique Carpe Diem,
Précepte respectable
Que l'on n'applique pas assez.
Cependant
Il a des frontières qu'il ne faut pas nier
Qui commencent et finissent avec
La conscience de l'autre.
Provoquer un artichaut au coeur déjà meurtri,
(Qui essaie fièvrement de nourrir ses racines)
Puis le laisser planter
Pour cause de changement de vent
Ceci est une limite largement dépassée.
N'y aurait-il pas eu provocation,
N'y aurait-il pas eu invitation,
La fuite n'aurait peut-être pas eu de raison.
Peut-être.
Peut-être.
Peut-être lorsque la feuille se sera posée,
Se sentira prête à se partager,
Lorsque la feuille entendra l'autre et le soi,
L'artichaut se laissera reprendre dans les bras
De cet être qui tout de même l'émeut tendrement.
Peut-être
Quilesait
Le vent ammène, malgré la feuille, son lot de souciances.
L'on regrette les jours sans bise
Où la feuille se laissant choir
Savait qui peuplait le noir
>
Le vent revient, la feuille s'envole et n'a plus que les pollens comme compagnie
Regrettant la terre chaude, les herbes folles, qui la câlinait tendrement et invariablement
Mais la route vers la mort est pleine de rebondissements
Le bonheur n'attend pas
Se construit durement
Mais l'amour me ment
Ta fuite infidèle
Dans le doute permanent
Tes pleurs trahissent une sombre pensée
Un regret peut-être
De mensonges proférés à l'encontre de la chose
Qui prenait du bon temps avant qu'il ne s'envole
Ne nous unissons pas
Ni contrat ni attentes
Prends mon mal en impatience
Mais rends-toi à l'évidence
Evidence
Evidence,
Evidence de quoi?
Magnifiques ces photos, et joli le jeune homme... (Aaah l'effet rayures.)
entièrement d'accord avec toi..
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